Jean Lescot Jean Lescot, Karl Brezner

Les Ritals de M. Bluwal,
La Colline aux mille enfants de J.-L. Lorenzi,
I comme Icare d’H. Vemeuil,
Le Train de P. Granier-Deferre,
Fausse Adresse de L.Lunari,
Oncle Vania d’A. Tchekhov.

Il a toujours joué les hommes bien élevés, discrets jusqu’à la circonspection.

Il ne piquait pas de colères, employait un langage châtié, il passait pour un homme tranquille. «Mais seuls les artistes ont l’air de criminels», et son air naïf, son sourire légèrement moqueur lui attirèrent quelquefois de vilains rôles.

C’est donc avec la volupté d’un fin gourmet qu’il peut goûter son contre-emploi dans une histoire sordide.

Il incarne la réflexion et le discernement à Hollywood, il est donc blindé puisque blocage et carnage sont les deux mamelles de cette patrie de cinéma où le plomb dans la tête est toujours du 7,65 mm.